Paris Brest Paris : 1230 kilomètres du 16 au 20 août...


Cet événement est organisé tous les quatre ans. Il rassemble des cyclistes du monde entier qui, pour pouvoir participer à cette "Grande Promenade", ont  du valider quelques brevets...

- BRM 200 km,

- BRM 300 km,

- BRM 400 km,

- BRM 600 km.

 

Tous les renseignements sur le site de l'organisateur...

(un clic sur le logo)...

 

Quelques chiffres :

103 " vélos spéciaux" en 2007

159 " vélos spéciaux " en 2011

Combien en 2015 ?

Suivi en direct des participants


Pour suivre de contrôles en contrôles la progression des participants, un SEUL LIEN !

 

 

Le Parcours


Une belle carte de 2011 que vous retrouverez sur le superbe site http://cyclo-long-cours.fr/
Une belle carte de 2011 que vous retrouverez sur le superbe site http://cyclo-long-cours.fr/

L'organisation de l'AFV pour ce Paris Brest Paris 2015


 

 

Pour tous les participants à vélocouché, l'AFV offrira une pause méritée...

 

Tous les détails ci dessous :


Grace à quelques très précieux Bénévoles l'AFV sera donc présente du 16 au 19 août au Camping La Rivière de la commune de La Chèze 

Ce camping se situe exactement sur l’itinéraire à 10 km à l'est de Loudéac.

 

 

Nous mettrons certainement une flamme ou deux sur le bords de la route pour bien l'identifier.... 

Le camping se situe légèrement en contre bas de la route, dans un chouette environnement, au calme.  

 

Nous avons réservés 4 grands emplacements à l'entrée (pour éviter autant que possible des désagréments pour les autres usagers) et proche du bloc sanitaire.

 

Nous aurons également accès à l’électricité (on prévoit les rallonges et multiprises pour vos batteries et autres ustensiles de geek... ).

 

Nous offrirons le gîte et le couvert (soupes surprises, café, thé, amuses gueules, bière, vin, digestif, salades de pâtes, viandes blanches, viennoiseries, cassoulet froid en boîte, gencives de porcs, tripes à la mode de Caen, potée Sarthoise, Kwouin Aman, fondue bourguignonne..........)...

 

Pour le gîte, nous disposerons de quelques tentes et, comme en 2011, une personne gérera les heures de sommeils pour que chacun dorme seul (ou pas...) le temps souhaité.

A ce titre MERCI de PRÉVOIR VOS DUVETS (et matelas)....

 

Nous  vous invitons donc à nous envoyer dès que possible à l'adresse indiquée sur le bulletin d'adhésion ci dessous et jusqu'au vendredi 14 août maxi votre paquetage (un beau carton bien nickel avec vos noms et prénoms) que nous transporterons sur place. Mettez y ce que vous voulez, il n'y aura que vous à l'ouvrir à votre arrivée (nourriture, duvet, drogues, matelas, affaires de rechanges, doudou, batterie, réparation...).

Nous vous les expédierons ensuite à votre domicile.

 

Ce ravito AFV sera accessible à tous les participants vélocouché de France et de Navarre qui le souhaitent ...

NATURELLEMENT, être adhérent* de l'association est fortement conseillé (sous peine de sabotage de votre monture lors de vos arrêts) , NATURELLEMENT, il est conseillé de nous avertir de votre passage que l'on prévoit bien ce qu'il faut pour tous....NATURELLEMENT aucun véhicule suiveur ne sera autorisé (comme le précise d'ailleurs le règlement du PBP car nous ne sommes pas dans les +/- 5 km autour de Loudéac) ;

 

 

* pour ceux qui ne seraient pas encore en règle avec l'administration afviste, et comme on l'a fait pour le Mondial 2014, une adhésion mi annuelle est possible pour la sommes de 8 €.

Merci de la joindre à votre paquetage ou de nous l'envoyer par courrier ou courriel (avec virement) dès que possible.

Utilisez pour cela le bulletin d’adhésion ci dessous.

 

Bonne préparation à tous et bonne balade.


L'équipe du Ravito 2015 :


Annabelle, Gilbert, Fabienne, Alain et sans doute Jeannick et Régine !

 

 



Retour sur image... ou comment se motiver pour 2015


Racontez nous vos Brevets qualificatifs !


Le 200 de Mayenne en images


le 400 de Grenoble

BRM 200 Km de Mayenne, samedi 28 mars 2015.


Sébastien nous raconte son brevet :

 

 Petit 1.

 

Je participe au brevet de Mayenne depuis 4 ans maintenant.  C’est quasiment mon « début de saison ». 

 

Après un petit mois de vélomobile et environ 800 km de vélos au mois de mars, j’étais entraîné mais peut être aussi un peu entamé… peu importe l’idée est de faire des km, de voire du pays, faire des rencontres..

 

Un brevet commence dans la tête plusieurs semaines, voir plusieurs mois avant… on se met gentiment en condition (ou pas).. Et la veille, entre 19h et 19h30, puis 21h30 et 23h on regarde si le vélo va bien.

Cette année j’avais l’idée de faire ce 200 avec le vélomobile mais un contre temps technique m’a fait renoncer la veille (est-ce un signe ?). En effet, lors de mon 3ème vélotaf de la semaine, vendredi matin, je trouve la direction du vélo très dure (au premier virage à 100m de la maison). Je parcours quand même mes 47 km en faisant très attention dans les grandes descentes car la direction étant très dure, elle engage plus… 66 km/h maxi alors que je peux descendre à près de 90 km/h habituellement. Cette contrainte n’est gênante qu’à partir de 40 ou 50 km/h ; en deçà, même si c’est moins fluide, ça ne gêne en aucun cas ma progression (31 km/h de moyenne de porte à porte).

 

N’ayant pas du tout le temps de regarder profondément ce qui se passe le vendredi, je rentre en automobile, rempli mon rôle de père de famille en participant activement à notre incontournable apéro du vendredi soir… et me jette dans le ventre du vélo tardivement. Pendant la journée, je me suis conditionné à envisager de faire le 200 en Zockra (ce qui n’est pas trop difficile comme choix, avouons le !).

Après plusieurs essais, toujours pas de mieux.

A 22h30, je décroche le Zockra du crochet, gonfle les boyaux et scotch la mousse au siège !

Un petit tour de 300m pour voir si j’arrive toujours à en faire et c’est réglé (que c’est drôle de reprendre le TD après un mois de vélomobile).

 

6h30 réveil. Habillage au couleur de l’AFV (bien plus chaudement qu’en vélomobile). Il crachine, ça ne m’enchante guère !

Une casquette, une micro serviette pour essuyer les lunettes et le visage, un paquet de chocos et hop, en voiture !

J’arrive à Mayenne à moins le quart… à l’ancien départ du brevet…

Pour la première fois de la journée je suis contraint de réfléchir (un autre participant est aussi là, incrédule). M… c’est à la salle polyvalente. Je fais ma BA de la journée en lui montrant le chemin.

 

7h50, arrivée !

7h52 Bonjour Papou (même pas eu le temps de décortiquer son nouveau beau TD… !

7h55 ma carte de route est tamponnée, à nous les routes humides de la Mayenne.

 

Je retrouve Marc (du club de Tennie en Challenge), Sergio (en HR Performer), Roudevelo (en Stinger à boite), AA_HH (en Catrike 700)..

 

 

Après les recommandations de Denis, le président du club de Mayenne perché sur une chaise au milieu d’une horde de cyclos bariolés de couleurs et de couvre-chefs de circonstance et une poignée de main aérienne au dit Président, nous nous envolons.

Enfin, euh, nous décollons.

Non...nous pédalons.

 

Le parcours.

 

 

 

Petit 2

 

Comme annoncé, vent dans le nez par petites rafales et crachin Breton (comme dirait Papou) sont au programme… être entouré de 200 cyclos aide surement à se motiver !

Ce qui est vraiment génial pendant ces brevets c’est qu’on retrouve des têtes connues. Tout au long des 200 km j’ai l’occasion de discuter avec les randonneurs de la région.

 

Après de brèves mais non moins agréables discussions avec les copains  -et les conseils de Roudevelo pour la maintenance de mon vélomobile (que je n'ai donc pas choisi pour ce brevet) J- à la première bosselette, je file !

 

Nous sommes les derniers partants, je dois donc remonter progressivement des pelotons assez bien formés (rappelons le, il y a un sacré vent de face !). Il me faut quand même presque 20 km  et le célèbre village de Martigné sur Mayenne pour retrouver le premier groupe formé d’environ 50 cyclos pressés (dans tous les sens du terme).

 

L’allure est soutenue (au dessus de 30 km/heure) et les petites bosses parfois sèches piquent un peu. Avec ce fameux vent,  il faut appuyer pour récoler.

 

Vu que le vent n’est pas toujours de face, il y a des bordures et la berne est souvent empruntée par les plus frileux (ceux qui font tout pour rester à l’abri derrière celui ou ceux qui le(s) précède(nt).

Je trouve ça plutôt très dangereux sur les routes où deux voies sont clairement identifiées…  à croire que les premiers ne veulent pas trop se faire sucer la roue par 40 mecs ! De fait, ils roulent déjà presque à gauche !

 

Je vous laisse imaginer la file qui suit…..

 

Il y a bien des courageux qui tentent de reformer un peloton digne du code de la route et digne du sport qu’il pratique… mais le vent fini tôt ou tard par anéantir leurs efforts.

 

On se croirait en mer avec des vagues, des trous de plusieurs mètres dont il faut s’accommoder pour rester dans le train, garder le cap, ne pas prendre l'eau, ou le vent, c'est selon.

 

A ce petit jeu, certains se perdent et s’essoufflent. Ce n’est plus du vélo, c’est de la voile, de la navigation.

A moins que ce soit juste une histoire de wagon, de bons au mauvais, je ne sais plus.

 

Après 35 km, je me sens enfin un peu dans le bain et je sorts la tête de l’eau… je profite  de routes plus larges pour prendre parfois les devants. Les routes étant souvent en mauvais état, de surcroît régulièrement agrémentées d’une petite boue à peine diluée par le crachin que nous ressemblons déjà à des vttistes (vive le garde boue,  il faut que j’investisse au lieu de mettre une casquette) !

 

J’ai une pensée pour Jéjon qui nous racontait son départ de brevet sans utiliser la carte de route en suivant un groupe… presque tout pareil ici. Je vois qu’il y a des gars « fiables » qui connaissent parfaitement la route. C’est vraiment la facilité mais vu que je n’ai ni l’intention ni les moyens physiques de filer en douce, ça me va bien.

 

Après le 1er contrôle de Louverné (moins de 5 mn), je décide de la disposer dans un endroit accessible et au sec (dans la poche arrière de ma veste).

 

En parlant de ces contrôles… si on veut jouer, il ne faut vraiment pas traîner… et si on traîne, il faut vraiment appuyer pour retrouver le groupe.

 

Un peu avant le second contrôle de Segré, quelques gars on –a priori- décidé de filer un peu… il faut dire que, comme chaque année, il y a une petite 10aine de jeunes coureurs qui viennent faire des kilomètres (et ils n’ont pas trop l’habitude de rouler sagement). Je trouve ça très bien… après, à chacun de savoir ce qu’il veut faire pendant le brevet.

 

Ça me fait toujours un peu marrer les gars qui « gueulent » d’aller moins vite… comme si « on » était obligé de former UN seul groupe homogène, comme si le cyclisme se résumait au peloton !

 

 

Donc on sent tout de suite les secousses à l’arrière du fameux train ! Honnêtement à cette vitesse, je prends ma dose de sport car il faut jongler avec le groupe… parfois juste derrière, parfois à côté, parfois dedans. Il faut aussi jouer de la voix pour avertir des voitures qui souhaitent doubler (parce que nous les voyons en vélocouché avec notre rétro !) ou qui arrivent en face (je regarde le plus loin possible à travers roues, rayons, selles, morceaux de cyclistes... pour anticiper au mieux).

  

C’est aussi très grisant de jouer ainsi. Pas le temps de penser à autre chose que le vélo, intellectuellement, c’est simple mais attention de ne pas en abuser J. En tous cas, je ne ressens aucune velléité  et je me distrais à écouter les commentaires sur le vélocouché... il y en a même un qui évoque le fait qu'un gars doit faire le brevet avec un vélo tout caréné... qui continu sur les avantage et les éventuels contraintes comme si j'étais sourd - alors que l'on été en train de grimper une belle côté, moi juste devant eux ;-)

 

Les premiers rubans de bitume sec se déroulent sous nos pneus et boyaux...

 

 

2ème contrôle : Segré 11h30 (ancienne heure ;-) Nous sommes au moins dix de moins à attaquer la boulangère !

 

 

 

Petit 3

 

A un moment j’ai cru que j’aurai le temps de remplir mon sac à eau… mais en fait non !

 

Je rempli mes poches de victuailles et je saute sur mon vélo. C’est reparti.

 

J’ai à peine grignoté depuis le départ… j’ai bu un demi litre, ça s’est presque correct.

 

Après quelques km, arrêt complet du train !

Ça fait un beau « bordel » au milieu de la route car les suiveurs n’ont pas compris, au départ, le pourquoi de cet arrêt (imaginez des wagons s'empiler) !

 

Le groupe s’est encore amoindri ; pas plus d’une trentaine désormais !

 

Le nord Anjou est réputé pour ses routes en mauvaise état. Ça se vérifie encore ! Le vent est désormais de côté, ce n’est pas pire.

 

Avec un jeune (par rapport à moi j'entends), on se fait la malle (celle du navire, s'entend) quelques kilomètres à la faveur de descentes qu’il s’amuse à enquiller comme moi… pourvu qu’on se fasse reprendre, c’est n’importe quoi ;-)…

Heureusement, c'est le cas, j'arrête de surenchérir dans les côtes.

 

A mesure que l’on progresse, le silence se fait de plus en plus présent dans le groupe… (en fait on n'a pu rien à se dire après 4 heures de vélo :-).

On tourne régulièrement, j'y vais même de mes petits relais et ça ne gêne personne, au contraire. Certains restent l'arrière, certains planqués (assez rare), certains parce qu'ils ne peuvent plus faire autrement ;

 

 

La partie la plus difficile arrive pour moi (et d’autres qui sont aussi un peu au dessus de leur moyen) ; c’est le début de parachutages intempestifs. Certain ont sauté en vol, je témoigne (c’est impressionnant)… tu es à l’arrière du groupe et tu vois « les copains » « sauter »… et disparaître dans le rétro (c’est génial les rétros, oups, pardon).

 

En effet, nous arrivons, après Craon, dans de longues et monotones portions ondulées et au revêtement médiocre. Vent de côté assez gênant. Je m’accroche et me fixe un objectif : aller jusqu'au 3ème contrôle de Saint Pierre la Cour avec le groupe.

 

Je grimace quand sa grimpe car il ne faut pas laisser trop de jour au risque de se faire planter car les descentes qui suivent sont si peu pentues que j’aurai un mal de cycliste droit à recoller… et je ne suis pas encore disposé mentalement à la jouer peinard.

 

En tous cas, ça faisait longtemps que je ne m’étais pas « confronté » à un groupe de cyclistes courbés sur leur monture.  Quand les côtes sont courtes, c’est bluffant comment le groupe de vélos droits « freine » au début de la bosse (on double alors nonchalamment en roue libre quand on a la place... on ronge ses freins dans le cas contraire, d'ailleurs, faut que j'aille vérifier si j'ai encore assez de gomme)… et accélère ensuite. Tout l’inverse de notre pratique. Ce qui n’empêche pas, preuve en est,  de passer 6h en compagnie.

 

En gros, j’ai donc fait du fractionné pendant 170 km aujourd’hui !

 

Point météo : Il fait désormais très beau et presque 15°.

 

 

 

3ème contrôle : Saint Pierre la Cour 13h30 (ancienne heure ;-) Nous sommes au moins dix de moins à attaquer la boulangère !

 

 

 

Petit 4

 

En fait, nous ne sommes plus que douze !

 

Un petit groupe ayant définitivement fait le choix de filer devant un peu avant St Pierre.

 

Peu importe, il y a une boulangerie qui a des pains au chocolat et des bulles.

Et désormais nous avons le VENT dans le DOS !!

 

Le temps que je fasse mes achats et nous nous retrouvons à 5…quelle hécatombe !

 

 

Je prends alors le temps de boire mon soda et manger mon pain au chocolat tout en roulant. Restant ainsi à quelques centaines de mètres de « mes compagnons ». A Port Brillet, un raidillon que je n’ai pas du tout anticipé me surprend un peu.

Un peu moins facile avec la canette dans la main, mais ça se fait !


Désormais commence pour moi une vie solitaire, pas désagréable à ce stade d’avancement.

 

C’est à Olivet que je décide de durcir le brevet : je file plein Est vers la Mayenne et le Genest-Saint-isle !

 

Dans la vraie version, il faut plutôt lire :

C’est à Olivet que je me plante (boire ou conduire..), hésitant entre deux routes sans panneaux apparents, je prends la mauvaise et me laisse glisser…je file plein Est vers la Mayenne et le Genest-Saint-isle !

 

Arrivé en bas (je savais qu’il fallait descendre, c’est un peu aussi pour ça que je ne me suis pas trop inquiété) je termine mon pain au chocolat et vide mes poches dans une poubelle.

 

Pour la première fois de la journée j’utilise mon smartphone pour m’orienter…  Je viens de faire un beau détour… et je vais devoir remonter, vent de face !

 

Bon, je ne suis pas très content de moi et m’inflige une remontée sportive !

 

Pour la petite histoire, c’est peut être encore un signe… je me retrouve à Changé, ville où nous sommes en train de chercher une nouvelle maison.. pour changer, ajouterons certains !

Je retrouve la route précise du brevet après un crochet de 10 km environ.

 

Ne reste plus qu’à rentrer tranquillement, il reste 25 km très très roulant ! Je me dévêtis, me pose trois minutes pour ranger mes affaires et c’est parti !

 

Deux gars me rejoignent quand je repars… on discute… 30 secondes  et pour le coup, je plonge  (il arriverons 15 mn après mois).

 

10 bornes de descentes sur une superbe route et de beaux paysages ! C’est peut être le seul endroit où je me serai vraiment bien vu en vélomobile sur ce parcours. S’en suit encore 10 bornes en toboggan, pas mal aussi !

 

Les dix derniers kilomètres sont un peu gâchés par ma centrale électronique qui vacille !

En effet, je ne peux plus actionner mes vitesses sur la cassette ; il me reste deux plateaux et je suis bloqué sur un pignon (le 6ème je crois). C’est assez frustrant car la route me permet de rouler vite sans forcer.

 

Tan pi, je mouline, je commence le « retour au calme »… ce sera sans compter sur les deux trois petites bosses qui m’obligent à forcer pour la dernière fois.

 

15h24, arrivée !

 

Soit plus de 30 de moyenne roulée et un peu plus de 28 au total. Pas trop mal pour une reprise venteuse.

 

Me reste à m’enfiler deux sandwichs aux rillettes, une petite bière et prendre le temps de discuter avec les organisateurs et autres participants toujours aussi accueillants.

 

 

 

Au choix, désormais... rendez vous le 19 avril à Ernée pour le brevet de 300 km ou bien à St Lô le 25 !